8 Décembre 2014
Dans un contexte social et économique dégradé, un enjeu apparait, celui de mettre en œuvre la réforme de la formation professionnelle, et particulièrement pour les publics spécifiques que sont les demandeurs d’emploi et de surcroît la population des jeunes précaires. Si l’offre était à la mesure du problème, la grande liberté des organismes serait sans conséquence, mais ce n’est pas le cas. Pour illustrer mes propos, je propose trois éclairages : 1) l’organisation de la formation professionnelle, 2) les publics des jeunes invisibles et précaires, 3) l’offre de formation professionnelle sur le territoire d’une agglomération. En conclusion je montre les limites et les dangers d’une telle organisation.
Intervention au colloque sur l'ESS organisé par la commission nationale entreprise du PS